ce défi nous « impose » de décorer le vélo entre le 22 décembre et le 2 janvier. Et de rouler avec bien sûr.

Voilà donc l’amorce de ce que ça donne… boules, guirlandes et… guirlandes électriques clignotantes alimentées par la dynamo. Alors défi relevé ?

Merci Mathieu pour la modification des guirlandes (il a créé un circuit complet pour faire clignoter en alternance la guirlande blanche et celle colorée [colorée main avec amour d’ailleurs]).

En ce 3 décembre, c’est l’anniversaire de ma maman, vous savez celle qui s’inquiète beaucoup pour nous – dans le récit – mais qu’on aime quand même beaucoup malgré ça.

On a un peu galéré pour le gâteau parce qu’on cherchait des baklavas et qu’on n’en avait pas sous la main. On a bien essayé de sonder la personne qui nous accueille ces quelques jours à Stavros en Grèce… elle sait faire les baklavas mais elle nous a dit qu’il fallait une journée entière pour en faire… donc outre le fait qu’elle n’en cuisinerait pas (malgré notre proposition d’aide), ça veut aussi dire qu’on ne pourrait pas les photographier… mais on a aussi pensé à la seconde partie du défi « anniversaire » qui consiste à refaire le gâteau dans un an… donc bref ça s’annonçait bien compliqué.

On a donc choisi autre chose, toujours à base de noix et excellent, ça :

Et la cuisinière (en remplacement des bougies qu’on n’a pas toujours sous la main) :

Ce mois-ci on va faire simple parce que ça nous a beaucoup ému…

Leur production, je crois qu’elle est évidente, elle n’est pas « petite » comme le recommandait notre consigne, elle est énorme : leur amour, et un amour qui ne va pas uniquement entre eux deux mais qui déborde sur les gens autour d’eux, même les parfaits inconnus !

Pour la petite histoire on regardait la mariée avec nos accompagnants du jour Anastasia et Pierre, elle s’approche de nous et retire une rose de son bouquet de mariée pour la donner à Hélène. On fait quelques photos, elle s’en va avec son mari rejoindre sa voiture puis revient 5 minutes plus tard avec une autre rose récupérée probablement d’un autre bouquet et la donne à Anastasia. Que dire de plus ?

On est sous le charme, Istanbul est une ville magique, une ville de contrastes, de dépaysements, d’endroits où on ne se sent pas à sa place et de gens phénoménaux dont la gentillesse émane par tous leurs pores.

Double defi aujourd’hui : taper sur un clavier roumain et vous montrer un agriculteur. Un Serbe super sympa qui a vecu un peu en France et ailleurs (voir recit).

Il n’est pas devant sa production comme le voudrait le principe officiel du defi mais ses champs etaient a 7 km de sa maison. on ne peut pas tout avoir, on a mise sur le principal.

Outre couper des arbres, son activite principale c’est la culture du mais, ble, tournesol et soja.

Pour l’anniversaire de notre neveu Sacha (4 ans), pas de gâteau en forme de train (on laisse ça à ses grands-parents) mais une spécialité serbe : une tarte pomme/noix/miel. On sent les influences turques dans les desserts serbes, on voit des baklavas partout et de nombreuses préparations sont à base de noix mais nous avions envie de vous faire découvrir quelque chose d’un peu différent et de plus « refaisable ».

En attendant la recette officielle, voici ce qu’on suppose :

râper des pommes, les faire revenir dans une poêle pour retirer un peu d’humidité, les mélanger avec des noix concassées/broyées et du miel.

Déposer ce mélanger sur une pâte sablée (la faire soi-même !!!) et cuire au four comme une tarte traditionnelle.

Aujourd’hui quelque chose d’un peu différent. On voulait vous montrer le producteur de ces jolies fleurs, mais voyez-vous en Autriche (comme en Allemagne) on a confiance en l’être humain et on accepte de laisser l’accès libre à son champ, de laisser les gens choisir et cueillir leurs fleurs (ok jusque la on fait pareil pour les pommes en France vous me direz) mais surtout on indique simplement le prix que les gens doivent payer et mettre dans une petite boîte.

Le producteur est donc probablement au bistro en train de boire ses gains ou chez lui a profiter de sa famille, allez savoir, on a bien cherché, on aurait bien aimé vous le montrer, mais on ne l’a pas trouvé. Je me vois donc obligé d’être seul sur la photo, à vous d’imaginer comment il est… un peu d’imagination quand même !

De nouveau un très petit producteur, le père de Paulina à Bialystok a quand même à son actif un nombre impressionnant d’alcools aromatisés à toute sorte de parfums : cassis, mûre, miel, pas mal de fleurs… nos dégustations s’arrêtent à 4 différents histoire de survivre au choc, mais c’était un très chouette moment dans cette famille très accueillante.

Notez que pour une fois c’est moi qui suis sur la photo !

Ok on n’est plus à Riga mais on a besoin d’un peu de préparatifs pour que le défi soit en ligne le jour J.

Ce moi-ci une production totalement confidentielle, du vin de « dents de lions » (pissenlit en français).
Alex notre hôte à Riga à lancé sa préparation à partir de 9 kilos de pissenlits, infusés dans de l’eau chaude au départ puis avec du sucre, des citrons, … malheureusement ça n’est pas encore prêt pour que nous puissions goûter mais on a la preuve en images…

Cette fois c’est l’anniversaire de mon papa et nous avons la lourde tâche de trouver une pâtisserie ou un gâteau.

Ca sera une pâtisserie, korvapuusti. Ca ressemble aux kanelbullar suédois mais dans une autre orientation (c’est plus plat) et avec des amandes sur le dessus.

La recette : http://sandrakavital.blogspot.com/2007/01/douceurs-scandinaves-pikkupulla.html ok il s’agit d’une variation avec du cacao à la place de la cannelle mais je n’ai pas trouvé de recette « traditionnelle » en français sur le web pour l’instant. Faut pas oublier qu’on est un peu sans internet fixe, on fait comme on peut 🙂

Si vous voulez essayer de votre côté n’hésitez pas, nous on a complètement craqué… on est quand même retournés au café pour en racheter et les photographier car on avait oublié la première fois 🙂

Les photos justement :

Ce mois-ci la petite production est encore en Suède. Bon on essaye de vous éviter les champs de patates (on réserve ça pour la Pologne) donc une nouvelle fois on sort des sentiers battus. Ce mois-ci nous mettons à l’honneur 2 copines suédoises qui ont créé il n’y a pas très longtemps (2009) une petite société de bijoux en argent. Andrea Drakenberg et Elle Sjöln ont envie de faire des choses simples, qui reflètent la Scandinavie et la nature suédoise.
On vous les présente parce que Hélène a complètement craqué sur le côté unique du fait d’immortaliser une feuille d’arbre dans de l’argent. Une fois la feuille pressée contre le métal elle ne peut plus être réutilisée (c’est pas bien écolo tout ça 🙂 et est en quelque sorte fossilisée dans un pendentif ou des boucles d’oreilles.

Leur site web : www.drakenbergsjolin.com si vous voulez offrir le pendentif du même genre à Hélène elle est preneuse 🙂 les deux filles exportent sans souci via leur site web de vente en ligne.